• beaucoup de Juifs étaient venus chez Marthe et Marie pour les consoler au sujet de leur frère. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Les trois amis de Job apprirent tout ce malheur qui lui était advenu et ils arrivèrent chacun de son pays, Elifaz de Témân, Bildad de Shouah et Çofar de Naama. Ils convinrent d'aller le plaindre et le consoler.
  • C'est pourquoi, réconfortez-vous mutuellement et édifiez-vous l'un l'autre, comme vous le faites déjà.
  • Les Juifs étaient avec Marie dans la maison et ils cherchaient à la consoler. Ils la virent se lever soudain pour sortir, ils la suivirent : ils se figuraient qu'elle se rendait au tombeau pour s'y lamenter.
  • Ses frères, ses soeurs et ses connaissances d'autrefois vinrent tous alors le visiter. Ils mangèrent le pain avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tout le malheur que lui avait envoyé le SEIGNEUR. Et chacun lui fit cadeau d'une pièce d'argent et d'un anneau d'or.
  • Réconfortez-vous donc les uns les autres par cet enseignement.
  • il nous console dans toutes nos détresses, pour nous rendre capables de consoler tous ceux qui sont en détresse, par la consolation que nous-mêmes recevons de Dieu.
  • Réjouissez-vous avec ceux qui sont dans la joie, pleurez avec ceux qui pleurent.
  • Quel témoignage te citer ? Que comparerai-je à toi, Belle Jérusalem ? Qu'égalerai-je à toi afin de te consoler, jeune fille, Belle Sion ? Car grand comme la mer est ton brisement. Qui te guérira ?
  • Ils m'entendaient gémir : pas de consolateur pour moi ; tous mes ennemis entendaient mon malheur, ils jouissaient ; en fait c'est toi qui agissais : tu as fait venir le jour que tu avais fixé. Qu'eux aussi soient comme moi !
  • C'est là-dessus que je pleure : mes deux yeux se liquéfient ; car loin de moi est le consolateur, celui qui me ranimerait. Mes fils, les voilà ruinés, car l'ennemi a été le plus fort. »
  • Zavad son fils, Shoutèlah son fils, Ezèr et Eléad. Les gens de Gath, nés dans le pays, les tuèrent parce qu'ils étaient descendus pour prendre leurs troupeaux.
  • Elle pleure et pleure dans la nuit : des larmes plein les joues ; pour elle pas de consolateur parmi tous ses amants. Tous ses compagnons la trahissent : ils deviennent ses ennemis.
  • Oui, ainsi parle le SEIGNEUR : N'entre pas dans la maison où l'on se réunit pour un deuil, ne va pas aux funérailles et n'aie pour ces gens aucun geste de sympathie, car je reprends à ce peuple la prospérité donnée — oracle du SEIGNEUR —, ainsi que l'amitié et la miséricorde.
  • Ces deux choses te sont arrivées : — qui te plaindra ? — Dégât et Brisement, Famine et Epée : qui te réconfortera ?
  • Mieux vaut aller à la maison de deuil qu'à la maison du banquet ; puisque c'est la fin de tout homme, il faut que les vivants y appliquent leur coeur.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV